Nom et Prénom : Mizushi Akikko
Age : 16 ans
Sexe : Féminin
Sexualité : * huhu * en voie de développement
Taille : 1m68
Poids : 50
Origine : humaine
Caractère :
D’apparence peureuse mais téméraire quand il le faut, Akikko sait se plier au règles mais a du caractère, bien que dès toute petite on lui appris qu’être une fille, puis une femme signifiait se taire et se soumettre ; elle pourrait, ou aurait pu être brillante, elle a du potentiel, et sait user de certains talents pour obtenir ce qu’elle veut.
En privilégiant toujours l’intelligence sur la violence elle sait donner d’elle une image positive en apparence. Longtemps introvertie, elle garde des séquelles d’une timidité profonde qu’elle n’aura jamais vaincue par elle-même.
Rancunière, elle na pardonne pas facilement. Akikko ne croit pas aux liens du sang, aux sentiments, à l’amour l’amitié, certainement qu’elle ne fera plus jamais confiance aux autres, elle rejette ainsi toujours la faute d’un échec sur eux. Elle n’a pas d’amis, pas de proche, elle ne supporte pas les hommes, et passe parfois à côté de l’essentiel…
Enfin toutes les expériences qu’elle a affrontées lui ont montré qu’à force de persévérance, de manipulation ou bien de séduction on peut tout obtenir dans la vie. Malgré cela, elle cache en elle un caractère d’enfant, un peu boudeuse, rêveuse, douce et sensuelle, mais elle réfrène tout ceci car son enfance lui a été volée il y a si longtemps déjà …
Description physique :
Plutôt grande pour une japonaise, mince et élancée, Akikko a les cheveux mi-longs et châtains, soyeux et lisses, le plus souvent noués partiellement ou détachés ; ses grands yeux bleus sont très mis en valeur par des vêtements sombre, et elle ne porte que des jupes ou des shorts, même en hiver, et elle ne met que très rarement des pantalons : point de maquillage à outrance (« tu perds un temps fou à mettre toute cette peinture chimique sur ton visage, et ça ne reste pas assez longtemps sur toi sans que tu t’en mettes sur les vêtements ou que tu te l’étale partout >_< ! ») aux pieds, des tennis ou des ballerines qui tiennent bien, pas de chaussures décolletées (« jamais de la vie un inconnu dans la rue ne regardera me doigts de pieeed ! j’ai jamais vu un truc si mooche !! »). Enfin, passant beaucoup de temps souvent mal assise, et ayant été plus grande que les autres, elle ne se tient pas toujours très droite. Je dois avouer qu'elle a des atouts féminins mais elle ne les mets pas en valeurs de peur d'attirer trop l'attention.
Histoire :
Ses parents, importants financiers originaires de France se sont installés au Japon avant sa naissance pour concrétiser un rêve, vivre d’amour et d’eau fraîche, et pour un important contrat. Akikko allait alors à l’école à l’ambassade où elle apprenait le français, le japonais et l’anglais.
Enlevée à 4 ans en sortant de la maternelle, elle n’aura jamais plus revu ses parents. Vendue en Asie Centrale elle a enchaîné maisons de charme et « propriétaires » pendant 5 longues années, pourries par la corruption, le viol, la perversité des hommes, et l’argent contre le plaisir. Fuyant avec une des filles en âge d’être sa mère elle s’installe chez la grand-tante de cette dernière, et se refait une identité.
Mûrir plus vite que les autres, étudier à la maison et enchaîner les petits jobs au noir pour ne pas vivre tout le temps péniblement sur le dos de la tante, devenue mourante, sont désormais ses occupations… pas le temps de se plaindre, de se faire des amis, de profiter de la vie, de voir du paysage, d’avoir des animaux de compagnie, de jouer comme tous les autres enfants ont fait, font, et feront, d’avoir des parents et de les aimer tendrement…
Elle devient froide et distante, s’indiffère du reste du monde. Alors apprendra la vie dans les livres et dans les émissions de la télévision. Une fois la tante décédée, l’héritage est revenu à un cousin lointain, alors la fille qui l’avait aidé, lui expliqua dans une lettre que la vie ne valait plus la peine pour elle, qu’elle marchait déjà sur les rails du train, qu’il ne fallait pas tenter de la retrouver mais elle ne lui souhaitait pas d’être chanceuse mais d’être forte car les hommes ne sont pas tous malfaisants, qu’il y a des bons et des mauvais gens, enfin elle lui laissa son peu d’argent…
Ainsi à tout juste 16 ans, elle partit, construire sa vie ailleurs en aspirant à des jours meilleurs. En s’installant à et en voulant trouver un toit, elle se fait arrêté par une police dépassée qui lui tend un journal : ses parents tués avec cinq autres personnes dans une fusillade au siège de leur société, et sa photo à elle, sur la page, fichée comme « disparue et décédée » … ainsi qu’une brève sur un mystérieux personnage qui punit les criminels en leur ôtant la vie… c’est ainsi qu’en commençant une vie, une vraie, dans un vrai logement meublé qu’elle suivit toute l’actualité depuis chez elle, collectionnant tout ce qu’elle trouvait sur les exploits de celui qu’on surnomma Kira…
Êtes-vous pour ou contre Kira ?
Et bien je dirai pour lui =)… Akikko prend beaucoup de plaisir à savoir que meurent des gens comme ceux qui lui ont fait du mal…
(je pense qu'elle l'aime secrètement mais elle ne veut pas s'accrocher à ce qu'il fait, car elle s'imagine qu'il pourrait être gros, chauve et vicieux à à écrire sur les toilettes qui il va tuer, au gré de son transit intestinale et à lire les pages people du programme télé!)
Avez-vous lu le règlement ? (code)
Quel règlement ?!
Yaya- du mieux que j’ai pu.^^
OK